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Auteur Baptiste Liger |
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"Les maisons d'édition fonctionnent comme des systèmes politiques" / Olivier Bétourné / Groupe Express-Expansion (2020) in Lire (Paris. 1975), 489 (10/2020)
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Titre : "Les maisons d'édition fonctionnent comme des systèmes politiques" Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivier Bétourné, Personne interviewée ; Baptiste Liger, Intervieweur Editeur : Groupe Express-Expansion, 2020 Article : p.18-19 Langues : Français (fre)
in Lire (Paris. 1975) > 489 (10/2020)Mots-clés : éditeur de livres (organisme) Résumé : Entretien avec Olivier Bétourné au sujet de son parcours dans différentes maisons d'édition raconté dans l'ouvrage "La vie comme un livre. Mémoires d'un éditeur engagé" : ses différentes responsabilités aux éditions du Seuil ; les idéologies de gauche au Seuil ; la structure de la maison d'édition ; l'influence de Claude Durand aux éditions Fayard ; la dimension commerciale maîtrisée par les éditions Albin Michel ; les changements intervenus chez les libraires ; sa définition du "bon éditeur" ; ses regrets. Nature du document : documentaire Genre : article de périodique/Entretien, interview [article]
"Les maisons d'édition fonctionnent comme des systèmes politiques"
de Olivier Bétourné, Baptiste Liger
In Lire (Paris. 1975), 489 (10/2020), p.18-19
Entretien avec Olivier Bétourné au sujet de son parcours dans différentes maisons d'édition raconté dans l'ouvrage "La vie comme un livre. Mémoires d'un éditeur engagé" : ses différentes responsabilités aux éditions du Seuil ; les idéologies de gauche au Seuil ; la structure de la maison d'édition ; l'influence de Claude Durand aux éditions Fayard ; la dimension commerciale maîtrisée par les éditions Albin Michel ; les changements intervenus chez les libraires ; sa définition du "bon éditeur" ; ses regrets.Bétourné Olivier, Liger Baptiste. « "Les maisons d'édition fonctionnent comme des systèmes politiques" » in Lire (Paris. 1975), 489 (10/2020), p.18-19.Maxime Chattam : "Dans notre société cartésienne, il nous faut un monstre auquel on peut croire" / Maxime Chattam / Groupe Express-Expansion (2022) in Lire (Paris. 1975), 513 (11/2022)
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Titre : Maxime Chattam : "Dans notre société cartésienne, il nous faut un monstre auquel on peut croire" Type de document : texte imprimé Auteurs : Maxime Chattam ; Baptiste Liger ; Alexis Brocas Editeur : Groupe Express-Expansion, 2022 Article : p.6-11 Langues : Français (fre)
in Lire (Paris. 1975) > 513 (11/2022)Descripteurs : écrivain Résumé : Entretien avec l'écrivain Maxime Chattam : la scène du premier chapitre de son roman "La Constance du prédicateur" ; les interrogations de sa femme sur ce roman ; les arrestations des tueurs en série ; le personnage criminel ; l'idée de la mine ; la force de l'invention ; son utilisation de la documentation ; la dimension humaine du tueur ; l'évocation de la musique du film "L'Affaire SK1" ; son obsession pour les tueurs en séries ; la question du mal ; le reflet du mal dans la société ; les révélations liées à des auteurs de thrillers ; son cheminement ; l'universalité du mal ; le cinéma coréen ; le choix du titre du roman ; son école du jeu de rôle. Nature du document : documentaire Genre : article de périodique [article]
Maxime Chattam : "Dans notre société cartésienne, il nous faut un monstre auquel on peut croire"
de Maxime Chattam, Baptiste Liger, Alexis Brocas
In Lire (Paris. 1975), 513 (11/2022), p.6-11
Entretien avec l'écrivain Maxime Chattam : la scène du premier chapitre de son roman "La Constance du prédicateur" ; les interrogations de sa femme sur ce roman ; les arrestations des tueurs en série ; le personnage criminel ; l'idée de la mine ; la force de l'invention ; son utilisation de la documentation ; la dimension humaine du tueur ; l'évocation de la musique du film "L'Affaire SK1" ; son obsession pour les tueurs en séries ; la question du mal ; le reflet du mal dans la société ; les révélations liées à des auteurs de thrillers ; son cheminement ; l'universalité du mal ; le cinéma coréen ; le choix du titre du roman ; son école du jeu de rôle.Chattam Maxime, Liger Baptiste, Brocas Alexis. « Maxime Chattam : "Dans notre société cartésienne, il nous faut un monstre auquel on peut croire" » in Lire (Paris. 1975), 513 (11/2022), p.6-11.Mélissa Da Costa : "Il n'y a pas de filtre entre les lecteurs et moi" / Baptiste Liger / Groupe Express-Expansion (2023) in Lire (Paris. 1975), 516 (03/2023)
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Titre : Mélissa Da Costa : "Il n'y a pas de filtre entre les lecteurs et moi" Type de document : texte imprimé Auteurs : Baptiste Liger ; Mélissa Da Costa Editeur : Groupe Express-Expansion, 2023 Article : p.6-10 Langues : Français (fre)
in Lire (Paris. 1975) > 516 (03/2023)Descripteurs : écrivain Résumé : Entretien avec l'écrivaine Mélissa Da Costa : son rapport d'échanges et de jeux autour de l'écriture depuis son enfance ; sa passion pour la psychologie ; ses études supérieures ; le contexte de l'écriture de son roman "Je revenais des autres" ; le dépôt sur les plateformes de ses premiers romans ; le succès et l'histoire de l'écriture de son roman "Tout le bleu du ciel" ; ses écrivains préférés ; les voyages ; le choix d'une année en Nouvelle-Zélande ; le cadre de la Nouvelle-Zélande pour le décor de son roman "Femmes du bout du monde", les personnages de Flore, Autumn et Milly ; la maternité dans "Femmes du bout du monde" ; les animaux dans le roman ; la question de ses romans "feel good" ; le rôle de son conjoint dans l'écriture de ses romans ; le contact avec son lectorat. Nature du document : documentaire Genre : article de périodique [article]
Mélissa Da Costa : "Il n'y a pas de filtre entre les lecteurs et moi"
de Baptiste Liger, Mélissa Da Costa
In Lire (Paris. 1975), 516 (03/2023), p.6-10
Entretien avec l'écrivaine Mélissa Da Costa : son rapport d'échanges et de jeux autour de l'écriture depuis son enfance ; sa passion pour la psychologie ; ses études supérieures ; le contexte de l'écriture de son roman "Je revenais des autres" ; le dépôt sur les plateformes de ses premiers romans ; le succès et l'histoire de l'écriture de son roman "Tout le bleu du ciel" ; ses écrivains préférés ; les voyages ; le choix d'une année en Nouvelle-Zélande ; le cadre de la Nouvelle-Zélande pour le décor de son roman "Femmes du bout du monde", les personnages de Flore, Autumn et Milly ; la maternité dans "Femmes du bout du monde" ; les animaux dans le roman ; la question de ses romans "feel good" ; le rôle de son conjoint dans l'écriture de ses romans ; le contact avec son lectorat.Liger Baptiste, Da Costa Mélissa. « Mélissa Da Costa : "Il n'y a pas de filtre entre les lecteurs et moi" » in Lire (Paris. 1975), 516 (03/2023), p.6-10.Miguel Bonnefoy : "Un bon récit peut faire bouger des armées" / Miguel Bonnefoy / Groupe Express-Expansion (2022) in Lire (Paris. 1975), 511 (09/2022)
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Titre : Miguel Bonnefoy : "Un bon récit peut faire bouger des armées" Type de document : texte imprimé Auteurs : Miguel Bonnefoy ; Anna Cabana ; Baptiste Liger Editeur : Groupe Express-Expansion, 2022 Article : p.6-11 Langues : Français (fre)
in Lire (Paris. 1975) > 511 (09/2022)Descripteurs : écrivain / Venezuela Résumé : Entretien avec l'écrivain franco-vénézuélien Miguel Bonnefoy : la signification du mont "inventeur" ; l'idée d'écrire sur l'ingénieur Augustin Mouchot ; les principales sources biographiques utilisées ; l'équilibre entre la réalité et la fiction ; les passerelles créées entre les différents romans de Miguel Bonnefoy ; son écriture ; son choix en faveur de l'épure narrative ; le contrôle de la langue ; la différence entre son roman écrit en français et sa traduction en espagnol ; son intérêt pour l'arc transformationnel des personnages ; son appartenance à une famille d'auteurs ; la question de son affection pour Augustin Mouchot ; la rareté des femmes dans "L'Inventeur" ; l'importance des récits collectifs ; la transposition cinématographique ; les raisons de son attention portées au lecteur. Nature du document : documentaire Genre : article de périodique [article]
Miguel Bonnefoy : "Un bon récit peut faire bouger des armées"
de Miguel Bonnefoy, Anna Cabana, Baptiste Liger
In Lire (Paris. 1975), 511 (09/2022), p.6-11
Entretien avec l'écrivain franco-vénézuélien Miguel Bonnefoy : la signification du mont "inventeur" ; l'idée d'écrire sur l'ingénieur Augustin Mouchot ; les principales sources biographiques utilisées ; l'équilibre entre la réalité et la fiction ; les passerelles créées entre les différents romans de Miguel Bonnefoy ; son écriture ; son choix en faveur de l'épure narrative ; le contrôle de la langue ; la différence entre son roman écrit en français et sa traduction en espagnol ; son intérêt pour l'arc transformationnel des personnages ; son appartenance à une famille d'auteurs ; la question de son affection pour Augustin Mouchot ; la rareté des femmes dans "L'Inventeur" ; l'importance des récits collectifs ; la transposition cinématographique ; les raisons de son attention portées au lecteur.Bonnefoy Miguel, Cabana Anna, Liger Baptiste. « Miguel Bonnefoy : "Un bon récit peut faire bouger des armées" » in Lire (Paris. 1975), 511 (09/2022), p.6-11.Nicolas Mathieu : "Je dois autant à Proust qu'aux Soprano" / Nicolas Mathieu / Groupe Express-Expansion (2022) in Lire (Paris. 1975), 504 (02/2022)
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Titre : Nicolas Mathieu : "Je dois autant à Proust qu'aux Soprano" Type de document : texte imprimé Auteurs : Nicolas Mathieu, Auteur ; Aurélie Marcireau, Auteur ; Baptiste Liger, Auteur Editeur : Groupe Express-Expansion, 2022 Article : p.6-11 Note générale : Bibliographie, biographie. Langues : Français (fre)
in Lire (Paris. 1975) > 504 (02/2022)Descripteurs : écrivain Résumé : Entretien avec l'écrivain Nicolas Mathieu : la corrélation entre l'ouvrage "La France sous nos yeux" de Jérôme Fourquet et son roman "Leurs enfants après eux" ; son intérêt pour ce qui sépare les gens ; les paroles de la chanson "Les Lacs du Connemara" de Michel Sardou ; l'évocation d'Orelsan ; la récupération de son roman par la classe politique ; l'intérêt des gens pour le traitement des humiliations ; les personnages d'Hélène et de Christophe ; l'écriture ; la lecture ; ses premiers écrits ; l'écriture de son premier manuscrit ; l'apprentissage de l'écriture ; le contexte de la publication d'"Aux animaux la guerre" ; les formes hybrides en littérature ; les références générationnelles du roman "Leurs enfants après eux" ; sa fascination pour l'adolescence ; l'impact de sa connaissance du domaine "noir" sur l'écriture de "Connemara" ; la critique sociale ; l'ancrage territorial du roman ; la construction de son univers littéraire ; la phrase sarcastique à la fin des scènes ; le choix du titre "Connemara" ; le sens de "réussir sa vie". Nature du document : documentaire Genre : article de périodique/Entretien, interview [article]
Nicolas Mathieu : "Je dois autant à Proust qu'aux Soprano"
de Nicolas Mathieu, Aurélie Marcireau, Baptiste Liger
In Lire (Paris. 1975), 504 (02/2022), p.6-11
Entretien avec l'écrivain Nicolas Mathieu : la corrélation entre l'ouvrage "La France sous nos yeux" de Jérôme Fourquet et son roman "Leurs enfants après eux" ; son intérêt pour ce qui sépare les gens ; les paroles de la chanson "Les Lacs du Connemara" de Michel Sardou ; l'évocation d'Orelsan ; la récupération de son roman par la classe politique ; l'intérêt des gens pour le traitement des humiliations ; les personnages d'Hélène et de Christophe ; l'écriture ; la lecture ; ses premiers écrits ; l'écriture de son premier manuscrit ; l'apprentissage de l'écriture ; le contexte de la publication d'"Aux animaux la guerre" ; les formes hybrides en littérature ; les références générationnelles du roman "Leurs enfants après eux" ; sa fascination pour l'adolescence ; l'impact de sa connaissance du domaine "noir" sur l'écriture de "Connemara" ; la critique sociale ; l'ancrage territorial du roman ; la construction de son univers littéraire ; la phrase sarcastique à la fin des scènes ; le choix du titre "Connemara" ; le sens de "réussir sa vie".Mathieu Nicolas, Marcireau Aurélie, Liger Baptiste. « Nicolas Mathieu : "Je dois autant à Proust qu'aux Soprano" » in Lire (Paris. 1975), 504 (02/2022), p.6-11.Pierre Lemaître : "Je me suis confronté au monde social et à sa réalité" / Pierre Lemaître / Groupe Express-Expansion (2023) in Lire (Paris. 1975), 515 (02/2023)
PermalinkSorj Chalandon : "Tant qu'il n'y a pas de vérité, je ne peux pas inventer" / Sorj Chalandon / Groupe Express-Expansion (2023) in Lire (Paris. 1975), 525 (12/2023)
PermalinkUn temps de chien : Antoine Gavory / Baptiste Liger / Groupe Express-Expansion (2020) in Lire (Paris. 1975), 487 (07/2020)
PermalinkTournez manèges / Gladys Marivat / Groupe Express-Expansion (2019) in Lire (Paris. 1975), 477 (07/2019)
PermalinkValérie Perrin : un coeur simple / Baptiste Liger / Groupe Express-Expansion (2021) in Lire (Paris. 1975), 495 (04/2021)
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