[article]
Titre : |
Ce que la littérature sait de la mort |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Gilles Ernst, Directeur de publication |
Editeur : |
Magazine littéraire, 11/2012 |
Article : |
p.48-80 |
Note générale : |
Bibliographie. |
Langues : |
Français (fre) |
in Magazine littéraire > 525 (11/2012)
Descripteurs : |
écrivain / littérature / mort : biologie / mort : philosophie / thème littéraire
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Résumé : |
Dossier, en 2012, sur l'évolution de la représentation de la mort dans la littérature, sur des écrivains ou des personnages de fiction qui y sont confrontés, et sur la menace d'une mort de la littérature. Evolution du ressenti littéraire de la mort : littérature "thanatique" du 20e siècle qui s'oppose au déni social de la mort ; fascination des écrivains gothiques (18e siècle) et symbolistes (20e siècle) pour le morbide. Symboles de la mort dans "Les Liaisons dangereuses" de Choderlos de Laclos. Expériences de la mort, par suicide, deuils individuels (expérience du sida) ou collectifs (spectres de la Seconde Guerre mondiale). Représentation de la mort au théâtre : Samuel Beckett, Eugène Ionesco, et Jean Genet. Tradition d'une fascination pour la nécrophilie. Ecrivains obsédés par la mort : Jean-Paul Sartre, André Malraux, Jean Giono, Claude Simon, Jacques Derrida. |
Nature du document : |
documentaire |
Genre : |
article de périodique |
[article]
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Ce que la littérature sait de la mort
de Gilles Ernst
In Magazine littéraire, 525 (11/2012), p.48-80
Dossier, en 2012, sur l'évolution de la représentation de la mort dans la littérature, sur des écrivains ou des personnages de fiction qui y sont confrontés, et sur la menace d'une mort de la littérature. Evolution du ressenti littéraire de la mort : littérature "thanatique" du 20e siècle qui s'oppose au déni social de la mort ; fascination des écrivains gothiques (18e siècle) et symbolistes (20e siècle) pour le morbide. Symboles de la mort dans "Les Liaisons dangereuses" de Choderlos de Laclos. Expériences de la mort, par suicide, deuils individuels (expérience du sida) ou collectifs (spectres de la Seconde Guerre mondiale). Représentation de la mort au théâtre : Samuel Beckett, Eugène Ionesco, et Jean Genet. Tradition d'une fascination pour la nécrophilie. Ecrivains obsédés par la mort : Jean-Paul Sartre, André Malraux, Jean Giono, Claude Simon, Jacques Derrida.
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Ernst Gilles.
« Ce que la littérature sait de la mort »
in Magazine littéraire, 525 (11/2012), p.48-80.
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