L'Eglise embarrassée par les oeuvres de prêtres prédateurs de Roxana Azimi In Le Monde (Paris. 1944), 24661 (16/04/2024), p.20 Le point sur les débats, au sein de l'Eglise catholique, sur le devenir des oeuvres d'art réalisées par des prêtres accusés d'agressions sexuelles : les cas de Marko Rupnik et Louis Ribes, prêtres artistes reconnus dans le monde de l'art sacré ; les accusations de violences sexuelles à leur encontre ; leur travail artistique ; les lieux sacrés où leurs oeuvres sont installées ; les réactions diverses des personnalités et institutions religieuses ; le point sur le rapport de la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l'Eglise ; les interrogations sur les oeuvres d'art des prêtres prédateurs sexuels comme porteuses d'offense pour les victimes ; la constitution de groupes de travail pour réfléchir au devenir des vitraux et autres fresques ; les options de recouvrement, de déposition ou de retrait des oeuvres ; la question de la représentation des victimes dans les oeuvres ; les enjeux autour de la dissociation des oeuvres de leurs concepteurs ; les ateliers artistiques comme lieux d'abus sexuels ; les liens entre modes de création et violences inffligées ; les témoignages de victimes ; les tractations en cours entre le diocèse et les mairies pour déposer les vitraux de Louis Ribes.

Azimi Roxana. « L'Eglise embarrassée par les oeuvres de prêtres prédateurs » in Le Monde (Paris. 1944), 24661 (16/04/2024), p.20.