Ce qui est sain, c'est de faire cohabiter les gens de Thai Ker Liu In Courrier international (Paris. 1990), 1766 (05/09/2024), p.56-58 Dans El Pais Semanal [presse espagnole], extraits de l'entretien avec l'architecte urbaniste singapourien Liu Thai Ker : son choix de l'apprentissage de l'urbanisme ; son intérêt pour les infrastructures de transport ; son travail avec l'architecte américain Ieoh Mong Pei ; la politique d'aménagement urbain du gouvernement à Singapour ; les raisons du choix en faveur de la coexistence des différents groupes ethniques ; les difficultés de la mise en place d'un modèle d'habitation sociale ; l'enjeu du développement du sens des responsabilités ; le contexte de la résolution du problème du logement en 1985 ; la question de la circulation des voitures ; le rôle de la technologie face au risque de sécheresse ; son point de vue sur Dubaï ; la question de l'architecture formaliste ; la mesure de la qualité d'une ville ; sa définition de la prospérité ; les règles en vigueur pour le logement à Singapour ; les atouts du système de logement social contre la gentrification ; la durée d'un édifice ; l'évocation de son parcours personnel ; la possession d'une voiture à Singapour ; ses projets d'aménagement de villes ; l'enjeu de la planification en faveur de l'économie de l'eau dans les grandes villes ; la cohabitation des gens ; les spécificités de la planification urbaine à Singapour ; les raisons de la fondation de son propre cabinet d'architecte ; son appartenance à l'humanité. Biographie. Encadré : le modèle singapourien.

Liu Thai Ker. « Ce qui est sain, c'est de faire cohabiter les gens » in Courrier international (Paris. 1990), 1766 (05/09/2024), p.56-58.