L'amour la solitude : entretiens avec Patrick Vighetti, Judith Brouste, Charles Juliet / André Comte-Sponville / Paroles d'aube (1995)

Public Notice avec vignette et résumé Bibliographie Titre : L'amour la solitude : entretiens avec Patrick Vighetti, Judith Brouste, Charles Juliet Type de document : texte imprimé Auteurs : André Comte-Sponville, Auteur Editeur : Paroles d'aube, 1995 Description : 135 p. ISBN/ISSN : 978-2-909096-07-0 Descripteurs : amour / existence / personne / sagesse / solitude Nature du document : essai Niveau : lycée L'amour la solitude : entretiens avec Patrick Vighetti, Judith Brouste, Charles Juliet de André Comte-Sponville Paroles d'aube, 1995, 135 p. Comte-Sponville André. L'amour la solitude : entretiens avec Patrick Vighetti, Judith Brouste, Charles Juliet. Paroles d'aube, 1995, 135 p.

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Schopenhauer in Magazine littéraire, 328 (janvier 1995)

Public Notice avec vignette et résumé Bibliographie [article]  inMagazine littéraire > 328 (janvier 1995) Titre : Schopenhauer Type de document : texte imprimé Année : 1995 Article : p.16-66 : ill. Descripteurs : beau / condition humaine / existence Mots-clés : Schopenhauer, Arthur Résumé : La vie est irrémédiablement ennui mais Schopenhauer propose des solutions pour ne pas désespérer de la vie. Il rompt avec l'idéalisme et la pensée spéculative et ce n'est pas seulement en philosophe qu'il parle de l'homme mais aussi en médecin et en psychologue. Il s'oppose à la fois à l'existentialisme et à la pensée de Spinoza. Il parle aux hommes de la façon dont ils épousent leur existence, de la misère et de la beauté du monde. Pour Shopenhauer le "moi" n'est rien : il influence de nombreux écrivains, de Maupassant à Beckett. Ce philosophe s'attache particulièrement à écrire dans une langue claire et élégante, critiquant fortement le style des philosophes allemands de son temps. Nature du document : documentaire [article]  Schopenhauer In Magazine littéraire, 328 (janvier 1995), p.16-66 : ill. La vie est irrémédiablement ennui mais Schopenhauer propose des solutions pour ne pas désespérer de la vie. Il rompt avec l'idéalisme et la pensée spéculative et ce n'est pas seulement en philosophe qu'il parle de l'homme mais aussi en médecin et en psychologue. Il s'oppose à la fois à l'existentialisme et à la pensée de Spinoza. Il parle aux hommes de la façon dont ils épousent leur existence, de la misère et de la beauté du monde. Pour Shopenhauer le "moi" n'est rien : il influence de nombreux écrivains, de Maupassant à Beckett. Ce philosophe s'attache particulièrement à écrire dans une langue claire et élégante, critiquant fortement le style des philosophes allemands de son temps. « Schopenhauer » in Magazine littéraire, 328 (janvier 1995), p.16-66 : ill.

Le Souci, éthique de l'individualisme in Magazine littéraire, 345 (juillet-août 1996)

Public Notice avec vignette et résumé Bibliographie [article]  inMagazine littéraire > 345 (juillet-août 1996) Titre : Le Souci, éthique de l'individualisme Type de document : texte imprimé Année : 1996 Article : p. 16-59 : ill. Descripteurs : être humain / existence / féminisme / morale / psychanalyse Mots-clés : Heidegger, Martin  Freud, Sigmund : 1856-1939  Saint Augustin  Socrate  souci Résumé : Le souci de soi apparaît quand la morale ne trouve plus de fondement extérieur dans quelque transcendance. Cette notion qui accompagne le développement de la philosophie grecque redevient alors la base d'une éthique de la vie quotidienne. Ce dossier retrace l'histoire et les contours du souci. Il est une contrariété momentanée dans les écrits de Saint Augustin. C'est l'être-au-monde qui est essentiellement souci, affirme Heidegger. Le Moi est le souci primordial ; pour Freud, l'exercice de la psychanalyse vise à la révélation du souci. Pour actualiser davantage la notion de souci, la parole est donnée finalement à un homme politique (Philippe Seguin), à un journaliste (Denis Jeambar), à un médecin (Jean-Paul Escande), à un juge (Antoine Garapon). Les tentatives d'élaborer une morale à partir de l'expérience des femmes sont analysées : certaines féministes refusent d'accorder une telle importance à l'éthique de la sollicitude. Nature du document : documentaire [article]  Le Souci, éthique de l'individualisme In Magazine littéraire, 345 (juillet-août 1996), p. 16-59 : ill. Le souci de soi apparaît quand la morale ne trouve plus de fondement extérieur dans quelque transcendance. Cette notion qui accompagne le développement de la philosophie grecque redevient alors la base d'une éthique de la vie quotidienne. Ce dossier retrace l'histoire et les contours du souci. Il est une contrariété momentanée dans les écrits de Saint Augustin. C'est l'être-au-monde qui est essentiellement souci, affirme Heidegger. Le Moi est le souci primordial ; pour Freud, l'exercice de la psychanalyse vise à la révélation du souci. Pour actualiser davantage la notion de souci, la parole est donnée finalement à un homme politique (Philippe Seguin), à un journaliste (Denis Jeambar), à un médecin (Jean-Paul Escande), à un juge (Antoine Garapon). Les tentatives d'élaborer une morale à partir de l'expérience des femmes sont analysées : certaines féministes refusent d'accorder une telle importance à l'éthique de la sollicitude. « Le Souci, éthique de l'individualisme » in Magazine littéraire, 345 (juillet-août 1996), p. 16-59 : ill.